Pour que la route précède toujours le développement


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Par ISTC
Mis à jour le 2024-06-28 20:26:35

On entend souvent dire que « la route précède le développement ». En d´autres termes, les conditions de circulation des personnes et des biens sont à la fois nécessaires et indispensables pour le développement d´un pays...


Les routes permettent aux populations de vaquer à leurs occupations, d’envoyer leurs enfants à l’école, de se rendre à l’hôpital et de transporter des marchandises entre les fabricants et les utilisateurs finaux.

En Côte d’Ivoire, l’urgence et l’acuité des problèmes de réhabilitation des infrastructures routières ont conduit le Chef de l’Etat Alassane OUATTARA, dès son accession à la magistrature suprême en 2011, à initier un programme de mise à niveau des routes. Dans ce programme, le gouvernement ivoirien a pris à bras-le-corps le règlement de la question de la voirie dans les communes du District d’Abidjan.

Dans le cadre de nos recherches sur « La réparation et entretien des voiries dans les quartiers d’Abidjan : État, Mairie, District, qui fait quoi ?», sujet des Pratiques professionnelles Soir 2024, nous avons noté qu’à Abobo, Adjamé, Anyama, Attécoubé, Bingerville, Cocody, Koumassi, Marcory, Plateau, Port Bouët, Treichville, Songon et Yopougon, les routes et les rues sont construites ou font peau neuve.

Les missions sont partagées : les voies primaires ou d’intérêt national et les grands boulevards pour l’Etat ; les voies secondaires interurbaines pour le District autonome d’Abidjan et les voies communales et intérieures à ces quartiers pour les Mairies.

Enfin, les voiries existantes exigent un entretien continu afin d’offrir une qualité de service optimale aux usagers. Et c’est là que le bât blesse. Qui fait quoi et qui ne fait pas quoi ?

Le présent numéro du Journal-école de l’ISTC-Polytechnique, Le Communicateur, tente de répondre à ces questions. Bonne lecture.

 


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