Cette activité, dit-on, nourrit son homme et contribue à l’essor du tourisme ivoirien. En plus d’une fonction de restauration, ces espaces de convivialité assurent également une fonction sociale en tant que lieux de rencontres, de débats et d’échanges.

Certains promoteurs de ces maquis se professionnalisent et rivalisent avec les restaurateurs dits modernes, mais d’autres transforment leur business en des lieux de vices : bonjour la débauche, l’immoralité, la perversion ! 

Ici, on utilise des revenus illégaux pour financer l’activité et réaliser des gains sordides à travers toutes sortes de pratiques, malsaines et dépravées.

Ces promoteurs-là, ce sont des brebis galeuses qu’il convient d’extirper de cette profession.